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aiasphere

30 mars 2007

Anti parmentier de canard aux petits légumes

Ingrédients

Pour 4 personnes

1 grosse carotte
2 cuisses de canard confit
100 g de petits pois (surgelés ou frais)
400 g de purée de légumes au choix (brocoli, carottes, haricots verts), surgelée ou frais
1 gousse d’ail
1 oignon
1 brin de thym
1 feuille de laurier
Sel et poivre

Préparation

Pelez et coupez la carotte en petits dés. Pelez et hachez l’ail et l’oignon.

Versez le tout dans une cocotte et ajoutez 1 cuil à soupe de la graisse de canard, salez,

ajoutez le thym, le laurier et couvrez. Laissez cuire 20 min en remuant de temps en temps.
Pendant ce temps, égouttez les cuisses, retirez toute la graisse apparente ainsi que la peau et

Détachez les chairs. Hachez-la grossièrement au couteau. Poivrez. Ajoutez les petits pois

aux carottes, ainsi qu’un demi verre d’eau. Salez et laissez cuire 5 min à feu vif.

Etalez la purée assaisonnée dans le fond d’un petit plat à gratin. Ajoutez la viande

aux légumes et recouvrez la purée.

Saupoudrez de chapelure et mettez

à dorer 15 min à

200’

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29 mars 2007

I am reading a book that tells a story I know

Laila Lalami, do you know her? I suppose the majority of you do not. I discovered this name when doing research on American writers of Arab origins.  She‘s a gifted writer. Yesterday, I received a book written by this Moroccan writer entitled Hope and Other Dangerous Pursuits . It is about a bunch of people who try to reach Spain illegally on a life boat. After reporting the trip details and the arrival on the other side of the Mediterranean Sea, she tells us the story of the people in a series of flash backs.

One –the girl with a scarf – could be one of the girls I met at the university in Raba- those girls with tough attachment to religious matters. I am not criticizing religion. But, I recognized in this character the personality of many girls that I used to know at the university who had could not stop talking about religion. It is at the university that you can meet such people who enjoy showing you the right path. They insist on details not important at all.

What is captivating in this novel is its simple way of telling the characters’ lives. When reading the book I had the feeling that I was going back in time to those university and high school years. I felt like hearing our neighbour narrating one of her daily suffering with her drunkard husband.

Lalami describes the streets I lived in and the some of the people I knew. When reading the book I felt taken back in time as if living one of the afternoon discussions that used to take place in our house when neighbours meet to talk their sufferings out.

The girl with fanatic thoughts, the beaten wife, the idle young man, all these I had knew. What I want to say is that the writer is describing Moroccan life as it is. Not putting cheerful colours on it to give it a false image to please tourists. She is telling the story of the marginalized.

As a reading of immigration problems Lalami proposes that we look at the origin of them. To stop it we have to help these people with financial and social problems. Get the beaten woman free from that violent husband and get her children a decent home no one in Brarek. Faten, the fanatic girl, needs help and the idle young man with a high computing degree. To solve the problem is to help these people have a secure and respectful source of income. To stop it is to stop people like Larbi and ToufiQ: people who cheat and accept taking bribes. These are responsible for the problems that our society is living.

To change things in the country is to find cures for solve its social and economic problems and to fight corrupted elements.

25 mars 2007

La drogue drague chez moi!

A croire que la drogue existe chez nous!

ça je l' ai jamais cru jusqu'au moments ou des jeunes que je connais de près en sont victimes. La vie est chère et pas n'importe peut s'offrir les choses qu'il désire, par contre les vendeurs de drogue adaptent leurs prix même aux budgets les plus limités. Ah si tous les commerçants s'adaptent aux besoins des clients ce sera le bonheur et même le plus pauvre pourra s'offrir les nécessités de la vie.

La vitesse avec laquelle Chicha et les comprimée rouges se propagent partout au Maroc fait vraiment peur! commender une chicha dans les cafès est devenu un acte simple et moderne que personne ne proteste. Je suis d'habitude quelqu'un d'esprit ouvert: voir des jeunes fumer ne me choque pas. Mais jamais de ma vie je ne croyait vivre dans un Maroc ou la drogue est en train de prendre commende des esprits des jeunes. 

Mon message aux jeunes de mon pays que j'aime beaucoup: Résistez je vous en prie

24 mars 2007

Paris et quoi aprés?

Disant que je suis tout simple  quelqu’un qui veux changer un peu la façon dont on regarde  l’autre bout de l’Atlantique. Mais j’ai surtout des questions à poser et j’aimerais bien avoir des réponses. En arrivant à Paris il y a deux ans, je me suis trouvé dans un monde dont j'ai entendu parler dès mon enfance. Il y avait

Ce qui est blizzard c'est qu’on ne peut pas s'empêcher de faire la comparaison. On dirait que c'est une réaction automatique, instantanée. Devant l'autre on ne peut pas s'empêcher de se poser des questions.

De toute façon durant des mois après mon arrivée à Paris je ne faisais que COMPARER! Mais au début c'était toujours en faveur du grand AUTRE. En voyant le niveau de vie, les infrastructures et les gros monuments je me disait arrête! Ce n’est même pas la peine de faire la comparaison.

La question que je me posait et qui revient toujours est la suivante: Est ce que nos politiciens et nos leaders sont aveugles pour ne pas voir ce qui se passe autour d'eux et d'essayer en moins de transplanter quelques idées?

N'ont ils pas honte de chanter les louanges des petits projets qu'ils réalisent alors qu'ils voient des choses immenses dans les pays qu'ils visitent?

Aujourd’hui ma vision de ce monde n'est plus la même. L'Europe n'est plus le monde merveilleux que je croyais. Mais je me pose toujours les mêmes questions te je ne nie pas l'avance qui existe entre nos deux mondes. Mon message aux politiciens de mon pays persiste toujours.

Après avoir passé un long moment ici je vous assure que j'en ai vu des choses en dessous des couches dorées qui couvrent l'image de ce monde.

Paris a des jardins, des beaux châteaux à faire tourner les têtes. Elle a aussi des merveilleux lieux de loisirs. Ce très beau visage de Paris n'apparaît qu’aux vrais Parisiens et aux touristes! L’étranger qu'y vient pour passer une longue durée va sûrement voir un autre visage plutôt désagréable. Paris ne livre pas son charme ni aux pauvres ni aux étrangers. Pourtant c'est grâce à leur travail et à leur dynamisme qu'elle est débarrassée de ses lourdes charges.

La vie d'un étranger reste toujours stressante et ses mouvements guidés par un besoin constant de justifier ses actes et son droit de rester. Les cas des étrangers et la nature de leurs  parcours changent selon leurs pays d'origine. Le parcours magrébins par exemple est une vraie guerre de nerfs. Si vous voulez savoir à quoi ressemble la vie d'un Magrébin en France  veuillez lire les petites histoires que je mettrai en ligne prochainement.

 

la France

de mon grand père: l'ancien combattant, celle de mon père et ma mère: les occupés et enfin

la France

qui faisait et fait toujours rêver la jeunesse chez nous.

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